lunes, 1 de octubre de 2012

Dossier de Presse / Press File



Le Théâtre du Lucernaire, Sokol.M Productions et Mise en Lumière
présentent

Notre Dame
de perpétuel
donuts

une pièce écrite et mise en scène par
Jordan Beswick


Interprétée par
Natasha Mashkevich

Adaptation française: Tatiana Gousseff
Assistante à la mise en scène : Chloé Hollings-Plot

Création 2013

Du 6 mars au 27 avril 2013
du mardi au samedi à 19h00


Réservations : 01 45 44 57 34


www.menlumiere.com


Sokol.M Productions : Roberto de Matos
06 74 73 15 80
sokol.mproductions@yahoo.com


Presse : François Vila
01 53 40 89 97 - 06 08 78 68 10
francoisvila@aol.com
Mise en Lumière :
Mathilde Mottier et François Vila
01 53 40 91 28
Diffusion : Mathilde Mottier
01 53 40 91 28 - 06 81 43 14 66
mathildemottier@gmail.com
L’histoire

1975. Edna Howard, élue Citoyenne de l’Année, reçoit des mains du maire une plaque commémorative qui récompense son infatigable engagement auprès des enfants maltraités.
De sa naissance où elle fut déclarée mort-née, à ce jour où elle est célébrée, Edna emprunte à nouveau le chemin qui l’a menée jusqu’à devenir une figure mythique de la ville de Hayward, propriétaire d’un donut-shop aussi accueillant que sa propre maison, elle qui petite fille, respirait leur odeur chaude et sucrée sur le seuil des boulangeries pour se consoler de n’être pas aimée.


Avec un humour généreux et sans aucune complaisance, Edna fait le récit d’une vie chaotique où s’entrechoquent les rêves d’enfance et la violence d’un père, le fantasme d’un amour qui la sauverait et la brutalité d’un prince tout sauf charmant, le bonheur immense d’être mère et l’instinct de survie qui lui donnera le courage de divorcer à une époque où les femmes ne savent pas encore exister sans leur mari.

A travers sa propre histoire, Edna tisse en creux l’histoire d’une famille dysfonctionnelle écrasée par le secret, et d’une réconciliation rendue enfin possible grâce à la parole libérée et au pardon.



Natasha Mashkevich interprète Edna


Diplômée du Conservatoire Royal de Bruxelles en Art Dramatique, elle poursuit sa formation avec J.Waltzer, S. Lastreto, B. Rabey, N. Klein, M. Monnier, F.Fonteyne, J. Beswick…



D’origine russe, parlant 5 langues, Natasha joue en Belgique dirigée par Ch. Delmotte dans Ahmed le philosophe d’A.Badiou, par D. Bisconti dans Chair Amour de V.Haim, P. Plume dans  La Mouette d’A.Tchékov, B. Marbaix dans Hernani de V. Hugo...



A Paris, elle travaille sous la direction de Franck De La Personne dans un spectacle Labiche, avec M.D. Fréval dans Cœurs de Vaches, dans Genesis crée par P. Kozeleff…En Russie sous la direction de M. Feighin dans Poputchiki de V. Shukshin. Dans des téléfilms, divers courts métrages avec entre autres: T.Loriot, C. Rittweger… avec D. Farrugia, pour Unisep. Natasha a joué dans Les Trois Sœurs d’A. Tchekhov qu’elle a mis en scène au 20ème théâtre à Paris. Elle a tourné dans le long-métrage de G. Paquet-Brenner, Elle s’appelait Sarah sorti en 2010. En 2009/2010, Natasha s’est produite à Paris et à Berlin avec le monologue de L. Wilson The Moonshot Tape en anglais et en français, mise en scène par J. Beswick, produit par R. De Matos/Sokol.M Productions. Ainsi que dans la pièce de H. Barker Deep Wives/Shallow Animals mise en scène par P. Verchueren (Paris-Berlin 2010/2011). Récemment Natasha a assisté Alain Foix à la mise en scène de sa pièce Rue Saint Denis (Paris, Guadeloupe 2011). Actuellement elle travaille sur un projet Kafka Accord dans l’impulsion initiale de G. Bourgue.

Le texte de Notre Dame de perpétuels Donuts » a été écrit pour elle.





Jordan Beswick

Auteur / Metteur en scène

Bien connu en France des acteurs se pressant à ses stages organisés au Studio vo/vf, Jordan a beaucoup travaillé aux Etats-Unis comme directeur de casting, professeur à la mythique Ecole Lee Strasberg, et comme auteur / metteur en scène.




En langue anglaise, les premières pièces qu’il a écrites ont été lues en public par des acteurs de renommée : Club Hell, à Londres par Vanessa Redgrave et Daniel Craig. Splitting the atom à New-York par Philip Seymour Hoffman, Edie Falco, Allison Janney… The F Word (Inconcevable) a été présenté au festival de créations puis au Source Theater à Washington.

En tant que metteur en scène il a présenté à Paris : Sept avec le bébé (Théâtre de Nesle), Inconcevable (Manufacture des Abbesses).
Concert à la carte de Franz Xaver Kroetz (Manufacture des Abbesses, Théâtre du Nord-Ouest), The Moonshot Tape de Lanford Wilson (Théâtre l’Opprimé).


Aux Etats-Unis, Jordan Beswick a mis en scène Boys in the Band de Mart Crowley, Gemini d’Albert Innuarto, Kennedy's Children de Robert Patrick, Slam de Jane Willis et Orphans de Lyle Kessler. A Paris, Jordan réalise plusieurs courts-métrages comme directeur de casting et a participé a des films tels que : La dernière marche (Dead Man Walking) de Tim Robbins (1995), The Yards de James Gray (1999), Little Odessa de James Gray (1994), Fièvre noire (Cabin Fever) de Eli Roth (2002), Forty Shades of Blue de Ira Sachs (2005), Signes (Signs) de Night Shyamalan (2002), Urbania de Jon Matthews (2000), Denise au téléphone (Denise Calls Up) de Hal Salwzen (1995) etc.



Notre Dame de perpétuel donuts sera créée à Paris au théâtre le Lucernaire.






Tatiana Gousseff Adaptatrice du texte en français


Comédienne et auteur, Tatiana Gousseff se partage entre son métier d’actrice et l’écriture de pièces, scénarios et nouvelles.

Elle a participé à l’écriture des spectacles à sketchs du collectif Les Voilà ! co-signé Un jour mon prince viendra, écrit pour M6 de nombreux épisodes de la série Faites comme chez vous, et développe actuellement pour La Paillote long métrage co-écrit avec Fred Bianconi, ainsi que Petit traité de mécanique amoureuse, court métrage co-écrit avec Luc Sonzogni, qu’elle interprétera et réalisera.

Elle a traduit la pièce de Claudia Shear : Blown Sideways trough life (Ma vie en biais).

A la télévision : on a pu la voir dans Eva Mag  et Le train sur Canal +, Totale impro sur M6 Sur le Fil sur France 2 et Doc Martin TF1.

Au cinéma on a pu la voir dans Erreur de la banque en votre faveur de Michel Munz et Gérard Bitton,  Ah si j’étais riche et Prête-moi ta main de Eric LartigauLaisse tes mains sur mes hanches de Chantal Lauby…

Au théâtre, elle a fait partie du collectif Les Voilà ! (Théâtre Trévise, Café de la Gare, Théâtre du Gymnase). En tournée avec Madame Sans Gêne mise en scène par Alain Sachs.
Un jour mon prince viendra mise en scène par Fanny Mentré à la Comédie Caumartin, Calamity Jane au Théâtre de Paris mise en scène par Alain Sachs.


Chloé Hollings-Plot Assistante à la mise en scène


Chloé se forme au métier de comédienne, avec Jean-Laurent Cochet, Philippe Naud, Luis Jaime-Cortez et Jordan Beswick.
Ses origines anglo-australiennes et son bilinguisme lui permettent rapidement de tisser un lien particulier avec Jordan Beswick, dont elle sera l’assistante à la mise en scène sur plusieurs spectacles et lectures : Concert à la carte de F-X Kroetz, Suburbia de E. Bogosian, Mi Amor de J. Beswick…

Parallèlement, Chloé suit depuis 2009 une formation de chanteuse lyrique avec Marie-France Lahore et fait, depuis 2010, un important travail de recherche destiné à l’écriture d’un documentaire sur l’acceptation du corps de la femme dans notre société.

L’équipe

Texte et mise en scène : Jordan Beswick

Adaptation française : Tatiana Gousseff

Assistante à la mise en scène : Chloé Hollings-Plot

Affiche : Sag Modern Media

Production : Sokol.M Productions: Roberto de Matos
assistant de production (Berlin): Gunnar Jäkel

Mise en Lumière 
Mathilde Mottier et François Vila

Communication - Partenariats : Aurélia Immacolato, Flavien Appavou


Diffusion : Mathilde Mottier
www.lesnouvellescomedies.com

Presse : François Vila














www.menlumiere.com

domingo, 30 de septiembre de 2012

Notre Dame de Perpétuels Donuts / Our Lady of Perpetual Donuts By Jordan Beswick



Our Lady of Perpetual Donuts

ednaoncar
“One forgives to the degree that one loves.”
- Francois de La Rochefoucauld
While working on Lanford Wilson’s “The Moonshot Tape” an idea came to mind for an original piece I’d been kicking around about my aunt.  My father’s sister.  Probably because many of the issues dealt with by Diane in Moonshot were the same my aunt Edna had endured.  Mental, emotional, physical and sexual abuse.  But what inspired me to explore Edna’s story is that where Diane emerged bitter, self-destructive, cynical, vengeful, and in her own way, abusive, Edna chose the path of forgiveness.  Not self-righteous or sanctimonious…just good old fashion…better to put love and respect out there into the world than contribute even that much more negativity.  And she did…she forgave everyone who trespassed against her.  And believe me, there were many and their trespasses against her would be considered unforgivable by most.
After almost being killed by her husband for the umpteenth time, she packed up her boys, got a lawyer, sued for divorce and got a small donut shop in the settlement.  She became the donut lady.  Working tirelessly, around the clock, even engaging her sons in the enterprise, and making a sufficient success of the place to support her family.  And through it all she maintained her humanity.  Chose to laugh in the face of adversity.  She didn’t bitch about her shitty life, she didn’t write books, or make movies, or paint pictures, she didn’t have time.  She had to work to support her three sons.  No time for lofty goals, pursuing dreams, aspirations.  And she certainly didn’t have the money to pay expensive therapy bills!  Her therapy was WORK!  And her sons.  And God.
ednacolor
She doesn’t know exactly when she started taking in other people’s children…but before she knew it she was supporting some 29 kids.  The numbers would increase and decrease over the years depending on the need.  No matter what her economic situation she’d never turn a child away.  She committed herself to taking responsibility, and providing, for neglected and abused kids.  And she never asked for a dime from anyone to help support them.  She made sure each and every child in her care knew his/her value, worth…knew he/she was loved and respected.  That each and every one of them were winners, not the losers they’d been made to believe they were.
Exploring the life of this modern day heroine, this woman of tremendous substance gave me hope…that no matter what personal, political, economic, chaotic, situation exists at any given moment…what domestic or international crises…that in this extraordinary world of OURS…heroes walk among us.  Not the superheroes depicted on screen or in comic books…but real live, flesh and blood heroes who are out there every day healing the wounded masses.  Simply because there’s a need.  Human beings need love, need respect, need to know they’re worthy of life on this planet, in this universe…every single one of us…and the Edna’s of the world have committed themselves to making sure we all remember that.
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Yeah, yeah, yeah…they’re not perfect these heroes.  But who gives a flying f**k?  Anyone who sacrifices so much to care for so many…come on.  Forgiveness people.  Wasn’t that ultimately the lesson?  Forgive them, Father.  It took the son to illuminate that.  Something the Father missed entirely.  So clear and yet so clearly unseen by God.  Thank you, Jesus.  Forgive, forgive, forgive.  Which takes love.  Love, love, love, people.  Does in fact make the world go round.  And people like Edna inspire the crap out of me.   Because her story illuminates the extent to which love really can sustain a person even in the face of overwhelming odds and heal all wounds.
Thank you, Edna.
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“There is no love without forgiveness, and there is no forgiveness without love.”
- Bryant H. McGill
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OUR LADY OF PERPETUAL DONUTS
Synopsis
Edna Howard, the donut lady of Hayward, California, is more than she seems.  The chamber of commerce is presenting her with its annual Local Hero award for her charitable works with abused and neglected kids.  In her acceptance speech she shares, perhaps for the first time, the extent of the decades of physical, psychological and emotional abuse she endured.  But standing before the assembled crowd is no victim.  Without a trace of self pity she simply, and at times hilariously, tells her story.  About how…through sheer stubborness, enormous creativity, a tremendous capacity for love, and God’s peculiar care…she escaped her would be destroyers, and found salvation in…of all things…donuts.
Eleanor Roosevelt said, “No one can make you feel inferior without your permission,” which, although undeniably true, is something a child can’t possibly…well…it’s wisdom that comes with age.  IF you’ve been lucky enough to survive with a semblance of your soul intact.  Our lady of perpetual donuts devotes her life to defending, protecting and empowering the countless children in her care.  “I always try to create a happy place for children because I never had it.”  And she does.  One love filled donut at a time.
One character
EDNA - Funny, loving, generous, extremely kind, divorced mother of three.  Okay, she can be occasionally ornery.  She’s a southern fried soul survivor with a profound appreciation and respect for, and love of, life.  She owns a popular neighborhood donut shop in Hayward, California, where she works her shapely tail off with her teenage sons.  Oh, and she saves children in her spare time.
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“Without forgiveness, there’s no future.”
- Desmond Tutu
poster-final
1975. Edna Howard, élue Citoyenne de l’Année, reçoit des mains du maire une plaque commémorative qui récompense son infatigable engagement auprès des enfants maltraités.
De sa naissance où elle fut déclarée morte-née, à ce jour où elle est célébrée, Edna emprunte à nouveau le chemin qui l’a menée jusqu’à devenir une figure mythique de la ville de Hayward, propriétaire d’un donut-shop aussi accueillant que sa propre maison, elle qui petite fille, respirait leur odeur chaude et sucrée sur le seuil des boulangeries pour se consoler de n’être pas aimée.
Avec un humour généreux et sans aucune complaisance, Edna fait le récit d’une vie chaotique où s’entrechoquent les rêves d’enfance et la violence d’un père, le fantasme d’un amour qui la sauverait et la brutalité d’un prince tout sauf charmant, le bonheur immense d’être mère et l’instinct de survie qui lui donnera le courage de divorcer à une époque où les femmes ne savent pas encore exister sans leur mari.
A travers sa propre histoire, Edna tisse en creux l’histoire d’une famille dysfonctionnelle écrasée par le secret, et d’une réconciliation rendue enfin possible grâce à la parole libérée et  au pardon.
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Notre Dame de Perpétuels Donuts / Our Lady of Perpetual Donuts


« Notre Dame de Perpétuels Donuts » de Jordan Beswick 

"1975. Edna Howard, élue Citoyenne de l’Année, reçoit des mains du maire une plaque
commémorative qui récompense son infatigable engagement auprès des enfants maltraités.
De sa naissan
ce où elle fut déclarée morte-née, à ce jour où elle est célébrée, Edna emprunte à
nouveau le chemin qui l’a menée jusqu’à devenir une figure mythique de la ville de Hayward,
propriétaire d’un donut-shop aussi accueillant que sa propre maison, elle qui petite fille,
respirait leur odeur chaude et sucrée sur le seuil des boulangeries pour se consoler de n’être
pas aimée.
Avec un humour généreux et sans aucune complaisance, Edna fait le récit d’une vie chaotique
où s’entrechoquent les rêves d’enfance et la violence d’un père, le fantasme d’un amour qui
la sauverait et la brutalité d’un prince tout sauf charmant, le bonheur immense d’être mère
et l’instinct de survie qui lui donnera le courage de divorcer à une époque où les femmes ne
savent pas encore exister sans leur mari.

A travers sa propre histoire, Edna tisse en creux l’histoire d’une famille dysfonctionnelle
écrasée par le secret, et d’une réconciliation rendue enfin possible grâce à la parole libérée et
au pardon."


OUR LADY OF PERPETUAL DONUTS

Synopsis

Edna Howard, the donut lady of Hayward, California, is more than she seems. The chamber of commerce is presenting her with its annual Local Hero award for her charitable works with abused and neglected kids. In her acceptance speech she shares, perhaps for the first time, the extent of the decades of physical, psychological and emotional abuse she endured. But standing before the assembled crowd is no victim. Without a trace of self pity she simply, and at times hilariously, tells her story. About how…through sheer stubborness, enormous creativity, a tremendous capacity for love, and God’s peculiar care…she escaped her would be destroyers, and found salvation in…of all things…donuts.

Eleanor Roosevelt said, “No one can make you feel inferior without your permission,” which, although undeniably true, is something a child can’t possibly…well…it’s wisdom that comes with age. IF you’ve been lucky enough to survive with a semblance of your soul intact. Our lady of perpetual donuts devotes her life to defending, protecting and empowering the countless children in her care. “I always try to create a happy place for children because I never had it.” And she does. One love filled donut at a time.

One character

EDNA - Funny, loving, generous, extremely kind, divorced mother of three. Okay, she can be occasionally ornery. She’s a southern fried soul survivor with a profound appreciation and respect for, and love of, life. She owns a popular neighborhood donut shop in Hayward, California, where she works her shapely tail off with her teenage sons. Oh, and she saves children in her spare time.


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